
C’est à peu près là, ou paradis équivalent, que je suis tranquille quand le temps est maussade. Je me régale, je suis équipée pour tous les temps.
Mais…. Horreur et damnation ! …
… Dès que le temps s’améliore, les camping car, les gros, les énormes, ceux conduits par pépère avec mémère et chien-chien à côté en train de râler et d’aboyer, débarquent tels des champignons après la pluie.

Et encore… Bon…. Mais pire : ils viennent se coller à moi quel que soit l’espace alentour !
Et voilà que je me colle à toi et zieute chez toi, et que je me gare exactement pour te cacher la vue alors qu’il y a dix places devant ou derrière, et que je sors en slip bidochon pour vider les ch. et reste dans cette tenue pour lire le journal affalé dans un siège de beauf (un peu casse-gueule mais confort)….
Je ne plaisante pas ! C’est du vécu. Heureusement tout le reste vaut le coup !